La blockchain : le nouveau gardien de la réputation des entreprises ?
Article sponsorisé par epresspack
Les crises réputationnelles des entreprises apparues à partir de 2010 ont révélé l’importance de garantir la fiabilité de l’information. Face à des technologies de falsification de plus en plus abouties, la circulation de plus en plus rapide d’une masse d’informations inégalée en direction de divers publics interconnectés, la paupérisation des médias et de leurs rédactions, comment les entreprises peuvent-elles relever ces défis qui fragilisent leur image ? Et si la solution se trouvait dans la blockchain ?
- La réputation, un actif stratégique à protéger
- Se protéger efficacement contre les fakes news
- La blockchain, un outil d’avenir
La réputation, un actif stratégique à protéger
Rappelez-vous, novembre 2016, le cours de bourse du groupe Vinci dévisse de 19 % en quelques minutes. La cause ? La publication d’informations alarmantes concernant ses résultats financiers. Le faux communiqué de presse envoyé à quelques rédactions et aux principales agences comportait des erreurs évidentes pour l’humain mais pas pour la machine, en l’occurrence le chatbot programmé pour reprendre et diffuser automatiquement des news. Loin d’être la seule entreprise à faire les frais de ce type d’attaque, le spécialiste français des bâtiments et travaux publics a vu avant lui, la société américaine Fitbi, l’entreprise américaine Avon, le groupe australien Whitehaven ou Coal, soit une dizaine de sociétés américaines faire les frais de fausses annonces élaborées par des hackers. Ces crises, qui font chuter les cours de bourses et coûtent cher aux entreprises, mettent en lumière la fragilité et par la même la valeur de l’information et son corollaire, la nécessité de la protéger et de garantir sa fiabilité.
Quand plus d’une société sur cinq dans le monde a subi une dégradation de sa capitalisation boursière en raison d’un défaut de réputation, loin d’être neutre et non mesurable, la valeur immatérielle de la réputation constitue un enjeu économique et financier majeur pour les entreprises. En 2019, une étude menée par AMO (Havas) chiffrait à 35 % de la part de la réputation des groupes cotés en bourse dans leur valorisation boursière de l’année précédente.
Alors, dans un monde où la réputation est fragilisée, notamment par l’infox et les deep fakes, comment les entreprises peuvent-elles protéger et certifier leurs contenus ?
Se protéger efficacement contre les fake news
La sécurité des données constitue l’un des principaux défis des entreprises. C’est en tous cas l’une des convictions d’Epresspack, éditeur de newsrooms au service des relations publics des marques et des entreprises qui signe, en septembre 2019, un partenariat avec le leader de la signature numérique embarquée KeeeX. Le but de cette alliance ? Développer une solution permettant d’authentifier les données et les sources des communiqués de presse et autres documents émis par les entreprises. Parce que de leur fiabilité dépend l’image de marque des entreprises, et par extension, la solidité de leurs relations… presse, investisseurs, actionnaires, franchisés ou distributeurs, décideurs locaux, institutions … et in fine des relations clients.
Si les solutions telles que la mise en place de serveurs de sécurité indépendants, existent, elles sont coûteuses et encombrantes. Une nouvelle technologie se démarque pourtant et concentre de nombreuses attentions, c’est la blockchain. Alors, pourquoi ne pas intégrer la blockchain, qui a fait ses preuves dans le domaine des transactions financières, aux process de communication des entreprises ? Cette technologie abordable répond à de nombreuses exigences : transparente, elle fonctionne sans organe central (interne ou externe) de contrôle et offre une parfaite sécurité avec ses données en titane incorruptibles, équipées d’une preuve d’intégrité.
La blockchain, un outil d’avenir
“La solution que nous avons développée permet d’authentifier, dater et protéger les communiqués de presse” explique Antoun Sfeir, CEO d’Epresspack lors de son lancement. “La technologie derrière ce projet apporte une réelle évolution. » souligne Laurent Henocque, CEO de KeeeX. « Les communiqués de presse équipés de manière permanente de leurs preuves d’intégrité, d’origine, de date et d’existence sur la blockchain, est un vecteur de confiance pour les journalistes et aux autres parties prenantes de l’entreprise. C’est également le premier outil qui permet la traçabilité des informations et éviter la reprise de fausses informations par des chatbots ou autres outils digitaux largement utilisés par certains médias. »
Ainsi, les plateformes de gestion de contenus “powered by Epresspack” intègrent directement les certificats d’authentification aux documents pour que le doute sur leur origine ne soit plus permis.
Concrètement, comment cela se passe ?
Les communiqués de presse sont sécurisés en un clic sur la blockchain avant diffusion par l’entreprise et ses équipes dédiées. Les journalistes, actionnaires ou autres publics, de leurs côtés, peuvent en vérifier la source par la présence du logo attestant de leur intégrité. Pour Antoun Sfeir, “c’est une réponse technologique simple et directe que nous apportons aux marques à l’ère des fake news et de la fragilité de l’information. Les entreprises peuvent désormais protéger leur communication sans pour autant changer leurs habitudes”.
Accor, Framatome, la SNCF…. La blockchain fait déjà de nombreux adeptes en matière de protection des informations. Alors pourquoi ne pas essayer vous aussi cette technologie ergonomique et protectrice ?
Les 5 principes de la blockchain
La blockchain est une nouvelle technologie, qui, comme son nom l’indique, fonctionne par séquence de blocs ou de groupes de transactions chaînées et réparties entre les utilisateur.rices. Elle permet de créer un enregistrement immuable des transactions et ne nécessite aucune autorité externe ou interne pour valider l’authenticité et l’intégrité des données. Traditionnellement utilisée pour les transactions financières, elle peut être employée pour tout autre type d’informations.
Pour en savoir davantage sur la blockchain et les moyens de protéger votre réputation, téléchargez le livre blanc réalisé par Epresspack
Cliquez ici pour télécharger la publication “La solution de protection des documents de communication par la Blockchain” par Epresspack et KeeeX
À propos de Epresspack
Editeur européen de newsrooms digitales, la start-up Epresspack a pour ambition d’offrir le meilleur de la technologie et du design au service de la réputation des marques et des entreprises. Les plateformes de gestion de contenus @Epresspack sont des outils propriétaires et 100 % européens qui regroupent l’ensemble des fonctionnalités de communication au même endroit : créer, diffuser, certifier et archiver des contenus aux formats les plus innovants, pour aider les marques et entreprises à se penser comme un média. Quelques 300 grandes marques et entreprises internationales (40 % CAC 40) lui ont confié l’hébergement et la gestion de leurs contenus au service de leurs relations publics et de leur marketing d’influence. Parmi elles, le Groupe Accor, ADP, Bouygues, BPI France, ING direct, Le boncoin, SNCF, Vinci… Fondé par Antoun Sfeir, CEO, cet acteur tech du secteur de la communication gère une audience cumulée de 3,5 M VU (2019) et rassemble 50 collaborateur.rices à Paris, Londres, Milan et Madrid.
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